Cet androïde représente une jeune femme vêtue d’une robe « petite Dauphine » jouant d’un tympanon. Un mécanisme d’exception, œuvre de Pierre Kintzing, anime les bras, la tête et le buste de la joueuse, qui soudain prend vie au rythme d’une invisible partition. L’automate, qui frappe réellement les cordes avec de petits marteaux, dispose d’un répertoire de huit airs dont « l’Aria de la bergère »,…