Conférences et débats - Rencontres du Café des techniques
jeudi 19 juin 2014, 18h30-20h00
Salle de conférences
À proximité immédiate du parcours de visite du musée, la salle de conférences est plus particulièrement dédiée aux colloques et conférences.
Entrée gratuite, dans la limite des places disponibles.
Inscription fortement recommandée :
musee-conf@cnam.fr
Billets à retirer à l'accueil du musée.
Dans un monde toujours plus connecté, les agressions dans le cyberespace se multiplient. Si certaines attaques informatiques font régulièrement la une des journaux, d’autres restent non détectées, causant des dégâts d’autant plus redoutables.Le cocktail explosif associant mobilité, cloud et BYOD, Bring Your Own Device ou apportez votre appareil personnel, crée chaque jour de nouvelles failles qui font le bonheur des cybervoleurs.
Arnaques en ligne, vol de données, chantage à la divulgation de données confidentielles ou au déni de service, sabotage par altération des données ou par la prise de contrôle des machines… Les cybercriminels s’attaquent aussi bien aux entreprises qu’aux particuliers ou aux États. Aujourd’hui, on assiste à la recrudescence des attaques ciblées menées par des cybergangsters professionnels. Les réseaux sociaux constituent un formidable outil pour détecter des proies idéales. Les escroqueries via les mobiles se développent. À l’avenir, les objets connectés représentent une vraie aubaine pour la cybercriminalité.
Tout ce qui circule sur le Net est vulnérable et l’internaute reste l’acteur de sa propre sécurité. De nombreuses attaques pourraient être évitées si des mesures élémentaires d’hygiène informatique étaient prises : 25 % relève de la technique, 50 % de l’organisation interne et 25 % du réglementaire et juridique. Lorsque le cybercrime est commis, chercheurs, cyberpoliciers et gendarmes mènent l’enquête grâce à leur laboratoire d’investigation numérique, véritable concentré de technologies, afin de démasquer ces voleurs de « biens immatériels » !
Arnaques en ligne, vol de données, chantage à la divulgation de données confidentielles ou au déni de service, sabotage par altération des données ou par la prise de contrôle des machines… Les cybercriminels s’attaquent aussi bien aux entreprises qu’aux particuliers ou aux États. Aujourd’hui, on assiste à la recrudescence des attaques ciblées menées par des cybergangsters professionnels. Les réseaux sociaux constituent un formidable outil pour détecter des proies idéales. Les escroqueries via les mobiles se développent. À l’avenir, les objets connectés représentent une vraie aubaine pour la cybercriminalité.
Tout ce qui circule sur le Net est vulnérable et l’internaute reste l’acteur de sa propre sécurité. De nombreuses attaques pourraient être évitées si des mesures élémentaires d’hygiène informatique étaient prises : 25 % relève de la technique, 50 % de l’organisation interne et 25 % du réglementaire et juridique. Lorsque le cybercrime est commis, chercheurs, cyberpoliciers et gendarmes mènent l’enquête grâce à leur laboratoire d’investigation numérique, véritable concentré de technologies, afin de démasquer ces voleurs de « biens immatériels » !
Avec la participation de :
- Mathieu Ginestet, juriste au service des contrôles de la Cnil
- Philippe Joliot, président de Tracip, expert près la Cour d'Appel de Nancy
- François Paget, chercheur au McAfee Labs, administrateur du Clusif