Faire parler l’ADN fossile ou comment remonter le temps ?
Faire parler l’ADN fossile ou comment remonter le temps ?
Conférences et débats - Dialogues - Des clés pour comprendre
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Entrée gratuite, dans la limite des places disponibles.
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Amphi Abbé Grégoire
Construit à la fin des années 1840, cet amphithéâtre du Conservatoire accueille aujourd’hui des cours, conférences et colloques.
On se souviendra que la célèbre revue britannique Nature publia, à la veille de la sortie du film “Jurassic Park”, les résultats d'une étude d'ADN (prélevé sur un charançon fossilisé dans l'ambre) vieux de 130 millions d'années. Cela se passait en 1993, dix ans après que les premiers acides nucléiques, composant de l’Acide DésoxyriboNucléique (ADN), support de l’information génétique, furent découverts.
Grâce aux techniques de la biologie moléculaire, une nouvelle ère de recherche passionnante et médiatisée s’ouvrait alors, dont les résultats, bien que moins impressionnants à première vue que la création de dinosaures, n’en restaient pas moins extraordinairement riches (et considérablement moins dangereux).
Aujourd'hui, les applications de ces découvertes concernent de nombreux domaines : archéologie, préhistoire, paléontologie, biologie évolutive, etc. Il devient par exemple possible de caractériser un individu par son empreinte génétique, d’établir des liens de parenté entre individus, d’engranger des informations sur les migrations de populations, humaines ou animales et déterminer les relations de parenté entre espèces actuelles et fossiles, d’un point de vue évolutif.
Grâce aux techniques de la biologie moléculaire, une nouvelle ère de recherche passionnante et médiatisée s’ouvrait alors, dont les résultats, bien que moins impressionnants à première vue que la création de dinosaures, n’en restaient pas moins extraordinairement riches (et considérablement moins dangereux).
Aujourd'hui, les applications de ces découvertes concernent de nombreux domaines : archéologie, préhistoire, paléontologie, biologie évolutive, etc. Il devient par exemple possible de caractériser un individu par son empreinte génétique, d’établir des liens de parenté entre individus, d’engranger des informations sur les migrations de populations, humaines ou animales et déterminer les relations de parenté entre espèces actuelles et fossiles, d’un point de vue évolutif.
Avec Eva Maria Geigl, directrice de recherche CNRS, Institut Jacques Monod, Equipe Epigénome et paléogénome, et Alain Froment, médecin et anthropologue, Musée de l'Homme, MNHN.
Conférences et débats
Le 4e jeudi du mois, de 18h30 à 20h.
Parce que les innovations suscitent chaque jour de nouvelles interrogations, scientifiques, ingénieurs et citoyens se mobilisent pour la société de demain.
En partenariat avec le CNRS et l'émission Autour de la question - RFI 89 FM du lundi au vendredi (16h10-17h).
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