Djamel Tatah

Djamel Tatah

Expositions temporaires

Du 17 mai au 1er septembre 2019 - PROLONGATION JUSQU'AU 3 MAI 2020

le dimanche, mardi, mercredi, jeudi, vendredi etsamediDu Vendredi 17 mai 2019 au Dimanche 3 mai 2020

Plein tarif : 8 euros
Tarif réduit : 5,50 euros
Gratuité sous conditions​​

Église

Véritable « lieu d’émerveillement », l’ancienne église de Saint-Martin-des-Champs mêle harmonieusement collections techniques et architecture médiévale.
Le musée des Arts et Métiers présente une œuvre originale de très grande dimension de l'artiste Djamel Tatah, réalisée avec le maître imprimeur Michael Woolworth. Exposée dans l'église Saint-Martin-des-Champs, les figures humaines traitées de manière sobre et épurée jouent avec la lumière particulière du lieu.
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Affiche Djamel Tatah

Invité par le musée des Arts et Métiers, Djamel Tatah s’est associé au maître imprimeur Michael Woolworth pour réaliser une œuvre de grande dimension autour de l’idée de chute. La technique de la xylographie sur tissu transparent permet de jouer avec la lumière qui circule dans l’abside de l’église et l’impression recto-verso invite le spectateur à tourner autour de l’œuvre pour l'appréhender de différents points de vue.
 

La présence de Djamel Tatah au musée des Arts et Métiers atteste de son attachement aux techniques traditionnelles qui tiennent une place importante dans son processus de création, notamment lorsqu’il s’agit de les détourner avec la complicité de l’artisan d’art.


Cette installation fait écho à l'exposition personnelle de l'artiste à la galerie Poggi à Paris présentée du 18 mai au 15 juin 2019 et composée de huit tableaux autour des thèmes de la guerre, de la solitude et de l’errance.

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Photo Djamel Tatah

L'artiste
Né en 1959, l’artiste franco-algérien Djamel Tatah enseigne à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il vit et travaille en Provence. Régulièrement présentés en France et à l’étranger, ses tableaux ont rejoint d'importantes collections privées et publiques dont le British Museum et le Musée National d’Art Moderne Centre-Pompidou.

Crédits photographiques : Roland Michaud et Djamel Tatah

« La chute prise en vol - Qui tombe, vole. - Puis s’ouvrent les abîmes  - L’obscur vient au jour.»
Hannah Arendt, Journal de pensée, vol. 2, Seuil, 2005, p. 803.